dimanche 15 mai 2011

derrière le pare-brise, les Hauts de Rouen

Voici la série de cartes postales éditées à l'occasion de l'exposition instabilisation (s) au PLOT HR de Rouen.
Ces cartes postales sont gratuites et disponibles sur place.
Les amateurs me font un signe et je les envoie gracieusement aux gens trop éloignés pour venir vivre l'expérience de l'oblique.


une barre en cours de destruction.

on aperçoit les immeubles de Marcel Lods.

ici le chantier de construction et au fond la banane et sa nouvelle ouverture dont on a parlé ici.

les nouvelles constructions.

Le PLOT HR se trouve exactement sous le panneau "centre commercial".

La très belle église Sainte-Claire dont les architectes seraient Alain et Guy Robinne associés à Herbert Baum (1973).

à nouveau la banane.



instabilisation (s), ça marche !



Je m'aperçois que depuis le vernissage de l'exposition au PLOT HR, ce mercredi je ne vous ai pas parlé de l'exposition.
Pourtant, ça y est ! La fonction oblique fonctionne à Rouen !
Les deux praticables furent bien investis par le public mercredi soir et surtout par les enfants du quartier qui ont couru, sauté, roulé dessus.
Il est clair que les enfants savent faire fonctionner ce genre d'expérience et la joie de toucher le plafond semble vraiment quelque chose de bien palpitant ! Ils n'ont pas peur.
le Modulor Thibault touche le plafond bras levé !

Les dessins de Thomas Dussaix sont également installés et regardés avec attention.





Ce qui est drôle c'est de comprendre aussi les petits ajustements qui pourraient être faits sur le grand praticable et je songe de plus en plus à ouvrir la grande pente.
Transformer l'objet pendant l'exposition pourrait bien être drôle. La vidéo avec Monsieur Claude Parent permet de l'entendre sur des sujets comme le mur, l'architecture industrielle, et Marcel Lods. C'est un document je crois, intéressant.


Mais pour ce qui concerne ce blog très directement n'oublions pas de signaler qu'une série de cartes postales (10) est distribuée gratuitement sur place. J'ai photographié les Hauts de Rouen à l'identique de la promenade de découverte faite au début de la résidence, c'est-à-dire derrière le pare-brise. Car après tout c'est bien souvent ainsi que l'on découvre aujourd'hui le plus souvent des lieux. Mais il s'agit aussi d'une protection et d'une manière détournée mais réelle de dire mon manque total d'envie de revivre l'expérience de Pierrefitte-sur-Seine.
Vous trouverez les cartes postales dans l'article suivant.